La vérité si j'ment !

Pinocchio mensonge visage trahit 604

Dire la vérité.

Les relations durables sont basées sur l’honnêteté.
L’honnêteté n’est pas difficile et devient une habitude. Dites la vérité.
Si votre relation ne peut pas surmonter cela (mais elle le peut très probablement), elle n’est pas bonne pour vous.
Dire la vérité est plus simple que de mentir, le contraire n’est que mensonge : mentir, c’est du travail ! Ça peut devenir pesant et vous isoler. Les petits mensonges isolent (et en nourrissent de plus grands).
Les secrets nourrissent la méfiance, créent des murs et découragent toute tentative d’intimité.
Faites la différence entre intimité et secret. Résister à la tentation de « protéger » quelqu’un en disant aux autres ce qu’ils veulent entendre. Et spécialement, ne feignez pas la tendresse.
Si vous n’êtes pas sûr d’aimer, dites non. Si vos relations ne sont pas une priorité dans votre vie, dites-le !
Encouragez l’honnêteté chez les autres. Par-dessus tout : Soyez honnête envers vous-même ! Êtes-vous à la recherche d’un agrément sexuel ? Avez-vous projet de construire un lien durable ? Voulez-vous fonder un lieu de vie ? Préférez-vous vous limiter au moment qui passe ?

Apprendre à exprimer.

C’est l’art le plus important et parfois le plus difficile à acquérir. Passez des moments de qualité avec vous-même et essayez de découvrir qui vous êtes.
La plupart d’entre nous ne le font jamais.
Apprenez à dire lorsque vous êtes de mauvaise humeur, sur la défensive, déraisonnable, hypersensible ou aveuglée par l’énergie d’une nouvelle relation. Connaissez vos limites.
Si vous n’êtes pas apte à être un bon ami ou amant pour quelqu’un : dites-le.
Découvrez où vous pourriez vous améliorer. Apprenez ce qui est sain pour vous, et ce qui ne l’est pas. Apprenez quand aller vous promener et prendre l’air ; les adultes ont besoin eux aussi de coupures.
Trouvez quelles sont vraiment vos priorités et vivez-les. Si votre vie ne reflète pas vos priorités, changez de vie, pas de priorités ! Et ce, dès aujourd’hui, pas dans un hypothétique futur.

Se connaître soi-même.

Beaucoup d’entre nous ne voit jamais les schémas psychologiques logiques de leur propre comportement, alors qu’ils sautent aux yeux de tous, par exemple choisir le même type d’amant, ou se comporter exactement comme le faisait le père. Ils ne se voient pas.
Qu’est-ce que vous ne savez pas de vous ? Vous pouvez transformer vos dépendances en préférences et finalement en choix, pour cela, faut-il encore les connaître ! Prenez le temps de découvrir :

• Le bagage de votre enfance.

• Le poids de votre dernière relation que vous portez encore.

• De quoi avez-vous besoin ?

• Ce que vous voulez. Simplement.

• Ce qui actionne vos « leviers » et pourquoi ?

• Comment continuer à vous développer ?

• Quels compromis vous acceptez ?

• Quelles sont vos motivations ?

• Ce qui vous rend jaloux, incertain, ou compétitif ?

• Où vous allez trop loin ?

• Vos schémas comportementaux ?

• Vos points forts et vos faiblesses ?

 Etc..

On en revient encore à l’honnêteté !

Ne pas se négliger !

Faites un travail sur vous-même. « Cultivez votre propre jardin dans votre âme, n’attendez pas que quelqu’un d’autre vous apporte des fleurs. »
Au lieu d’attendre l’approbation, la satisfaction, ou la joie d’autrui, apprenez à le faire vous-même. Ceci est une aptitude primordiale pour la vie, pas seulement dans les relations.
Vous serez toujours à la merci de quelqu’un jusqu’à ce que vous appreniez à satisfaire vos propres besoins. Une fois que vous le ferez, vous gagnerez une liberté et une confiance en vous, que personne ne pourra vous enlever. Vous pouvez considérer les gens comme des égaux et choisir
de savourer la vie ensemble (au lieu de timidement échanger des besoins dans « une économie émotionnelle mue par la pénurie »). Ironiquement, une personne avec ce genre d’indépendance est très attirante. (Seulement si nous n’en avons pas besoin. Merci !). Prenez le temps de réfléchir à ce sur quoi vous devez travailler et laissez-vous l’espace pour le faire.

S’accepter soi-même !

Portez de l’attention à vous-mêmes, soyez bienveillants, aimez-vous, acceptez-vous, pardonnez-vous, respectez-vous, soyez votre serviteur, éduquez-vous, soyez simplement vous-même, et surtout : « laissez du mou ! »… Nous sommes tous trop durs envers nous-mêmes. Nos miroirs sont déformants : apprenons à compenser cette distorsion. Apprenons les « premiers secours émotionnels ». Mettez vos « déchets émotionnels » en ordre, soyez le numéro un dans votre vie.
Travaillez sur votre problématique enfance/parents. Si vous ne faites pas disparaître vos fantômes, c’est eux qui vous feront disparaître. La relation que vous entretenez avec vous-même est la base de toutes les autres.

Possédez vos sentiments !

La crainte est ce qui, habituellement, empêche l’honnêteté. Rendez l’honnêteté possible pour les gens en leur évitant qu’elle soit synonyme de risque pour eux.
Soyez en possession de vos sentiments. Personne ne peut vous rendre triste, colérique, ou heureux. Vos émotions vous appartiennent. Elles existent dans votre tête, nulle part ailleurs.
Vous en êtes détenteur : ce sont toujours des choix. Acceptez que parfois vous vous sentiez bien ou mal, pour quelque raison que ce soit (pas à cause des gens ou des événements de votre vie).
Si vous rendez quelqu’un responsable pour la façon dont vous vous sentez, vous vous destituez de votre propre pouvoir. Jouer les victimes ou les martyrs n’est qu’une façon de manipuler les gens. Dire : « je te blesse parce que mes parents m’ont blessé », c’est certes reconnaître honnêtement l’émotion, mais agir ainsi, c’est abdiquer, et livrer votre vie aux autres et au passé.

Prenez vos responsabilités !

Soyez ici, maintenant. Prenez vos émotions en main et soyez l’auteur de votre vie. C’est vous qui devez prendre la responsabilité de satisfaire vos besoins. (Oui, même vos besoins sexuels).
Ne dites pas aux autres : « rends-moi heureux, protège-moi, sauve-moi ». Ou alors, dites plutôt « aide-moi à me rendre heureux, aide-moi à me protéger, aide-moi à me sauver. »
Apprenez à porter de l’attention à vous-même. Les relations représentent du travail. S’il y a des problèmes dans l’une de vos relations, ou si votre vie est un champ de bataille : debout ! et prenez votre part de responsabilité (mais pas plus !), même si vous pensez que vous ne le méritez pas.
Prendre ses responsabilités n’est pas synonyme de se faire des reproches, c’est prendre le contrôle. Rappelez-vous lorsque vous avez quitté le cocon familial... Lorsque vous prenez davantage votre vie en main, vous avez plus de liberté, pas moins.

Encouragez le développement personnel !

Rappelez-vous d’appréhender vos amants et vos amis comme des êtres humains… il est étonnamment facile de l’oublier ! Encouragez-les dans la poursuite de leur carrière, leur recherche spirituelle, leur formation, leurs ambitions, leur questionnement vital, et ce, à leur rythme et à leur manière.
Aidez-les à comprendre et soigner leurs blessures et à mieux se comprendre eux-mêmes par conséquent. Encouragez-les à se prendre du temps pour eux et laissez-leur l’espace dont ils ont besoin. Aidez-les à observer leurs faiblesses et à développer leur force. Demandez-leur d’en faire de même avec vous, mais en leur disant comment… Ils ne peuvent pas lire vos pensées.
Une façon d’encourager le développement intérieur est de donner à ceux que vous aimez la liberté d’aimer d’autres personnes.
Le développement personnel est parfois difficile seul et sans repère. Nous parlerons bientôt de la thérapie.

Ne fondez pas sur la faiblesse !

Certains trouvent les manques émotionnels et la faiblesse chez les autres, très attirants, soit parce que leur propre faiblesse est ainsi minimisée, soit parce qu’ils peuvent jouer un rôle de sauveur ou de protecteur qui leur donne la sensation d’exister et d’être important pour autrui.
Ils créent ainsi un lien de dépendance fondé sur une inégalité relative : force/faiblesse et protecteur/protégé. Peut-être croient-ils qu’ils n’existeront plus et qu’ils seront rejetés si leurs ami (es) deviennent forts et autonomes. Ils ont ainsi tendance à maintenir les gens dans la faiblesse et le besoin émotionnel et perpétuent la dépendance « salvatrice » afin de ne pas être abandonnés. Ils oublient que l’amour se fonde sur une relation d’égalité.
Ils sont sans doute généreux, mais posent leurs conditions et leurs chaînes ! Il ne s’agit pas d’amour inconditionnel (ni probablement d’amour tout court !).

Affrontez vos craintes !

L’amour peut être bloqué par des émotions difficiles comme l’insécurité ou la crainte de l’abandon… Une façon de traiter une émotion bloquante est d’aller à ses devants. »L’unique issue de secours, c’est : traverser ».
Ne la fuyez pas, cela ne fait que la renforcer. Plongez-vous dedans, affrontez-la, examinez-la.
Sentez en vous l’émotion, la jalousie par exemple… Pourquoi voulez-vous avoir la place de l’autre ? Est-ce un concurrent ? avez-vous à perdre ? avez-vous à gagner ? suis-je à vouloir posséder l’autre ? ai-je confiance en moi et en mon sentiment ? suis-je sûr d’une réciprocité ?
Ensuite, dépassez l’émotion. Votre crainte est bien pire que la réalité ! Faites-en l’expérience et l’émotion perd de son pouvoir et vous grandissez en devenant plus fort. Vous pouvez même utiliser des émotions comme l’insécurité, la tristesse, le vertige, etc. afin d’apprendre sur vous-même. Donnez-leur de votre attention, elles en valent la peine, car elles sont une part de vous.
Et vous le valez bien !

Pratiquez le respect !

Le respect s’applique à tous, aux gens que nous rencontrons, pairs ou subordonnés.
Il s’applique aussi à ceux qui sont en situation de détresse.
Il s’applique même vis à vie des gens qui sont d’un avis contraire au nôtre, et qui s’opposent !
Honorez les limites et les restrictions des gens. Écoutez lorsque quelqu’un dit « non ».
Exigez la même chose pour vous. Ne tolérez aucun abus d’aucune sorte. Vous méritez mieux. Soyez polis avec vos partenaires, ils le méritent plus que quiconque dans votre vie. Il est trop facile de considérer les partenaires comme une chose acquise.
Respectez aussi vos engagements.
Prenez des engagements pour un laps de temps limité et pas pour toute la vie. « Tu m’épouses pour une autre année ? »… Cela vous aide à rester attentifs..

Acceptez les autres tels qu’ils sont !

Les expressions comme « mieux », « le plus », préférées », obligent à comparer et poussent les gens à la compétition : donc il y a un perdant. Trouvez un moyen de faire gagner tout le monde.
Respectez les relations ainsi que les gens. Considérez chaque relation comme une entité distincte. Elle peut être saine ou malade. Elle a une forme naturelle ; n’essayez pas de la forcer à être autre chose. Trouvez sa forme et laissez-la être ce qu’elle est. Résistez à la tentation d’utiliser une relation pour mettre de l’ordre dans vos idées : un ami n’est pas un radeau de sauvetage ! Ou alors, expliquez clairement les termes du contrat d’aide ! Et si vous avez besoin d’une thérapie, aller voir un spécialiste.
Il est facile de projeter vos attentes sur les autres. « Il va peut-être changer… ». N’essayez pas de forcer quelqu’un à être ce qu’il n’est pas. Les gens sont des « achats forfaitaires »…
Acceptez-les pour ce qu’ils sont, faibles et forts, bons et mauvais à la fois, ou bien ne les acceptez pas du tout !
Si vous voulez le respect, tenez vos promesses. Restez fidèles à vos engagements, ne vous chamaillez pas sur le sens des mots en cherchant des échappatoires commodes. Si vous faites un pacte dans la cuisine, respectez-le aussi dans la chambre.

Écoutez la faiblesse !

Observez votre force : elle vous fait découvrir les autres et leurs faiblesses. Que savez-vous des chemins et des enfers vécus ? Soyez modeste, vous n’êtes pour rien dans votre puissance.
Écoutez, ouvrez-vous, vous avez à apprendre. Ayant appris, vous pourrez comprendre. Mieux aimer.
Que savez-vous de celui que vous voyez faible ? De ses vies antérieures ? Vous vivez dans un monde tricheur qui a fait de la force une valeur de référence, mais qui se fonde sur le rapport de force et sur la domination pour masquer des faiblesses qui ont été rendues honteuses. Devant ce que vous voyez comme étant faiblesse, interrogez-vous sur votre ressenti : n’est-il pas honte de votre propre faiblesse cachée ? Quel jugement de valeur vous pilote encore ?
Quittez tout cela. Fondez sur l’amour. Il est seul à mener à la justice.

Communiquez !

Si vous voulez des relations saines, de solides aptitudes à la communication sont requises… elles ne sont pas un luxe ! Les problèmes commencent habituellement lorsque le dialogue cesse. Des choses, sur lesquelles vous avez travaillé patiemment et avec amour, viennent sur le tapis sans arrêt, même si vous n’êtes pas dans votre bon jour. Avec le temps, ça devient plus facile, mais ça prend du travail et de la volonté pour percer les abcès et abattre les murs. L’aptitude à communiquer est ce qui fait de quelqu’un un bon amant, ou un « cancre ».
L’aptitude à se disputer n’est pas une aptitude de communication. Mieux se disputer que quelqu’un ne vous donne pas raison, ça vous rend juste meilleur en dispute ! Certaines personnes veulent gagner à tout prix une dispute… même si cela leur coûte leur relation. En quoi est-ce important pour vous d’avoir raison et de le prouver ? A affirmé votre ego ? Il est donc si fragile que cela ?

Écouter !

Écouter est plus important que parler… et plus difficile. Écouter attentivement, ne pas simplement écouter. Faites contact avec les yeux. Soyez ici maintenant, ne vagabondez pas.
Paraphrasez en les résumant les idées de vos interlocuteurs pour voir si vous avez bien écouté.
Prenez conscience de votre vocabulaire et de vos sentiments lorsque vous écoutez. Percevez les émotions d’insatisfaction sans avoir besoin de les maquiller, écoutez les différends sans prendre parti. Soyez réceptifs à la communication non verbale… d’habitude, elle parle plus clairement que les mots. Soyez attentifs à la façon dont les gens vous aiment.
Toute discussion n’est pas synonyme de communication. Si vous vous perdez dans la forêt en passant plusieurs fois devant les mêmes balises, vous refaites sans arrêt la même erreur. Prenez conscience de votre ego. Lever la voix et parler avec dureté vous rend plus difficile à comprendre, pas plus facile.

Exprimez-vous clairement !

Évitez de dire « toujours » et « jamais » lors d’un différend, ça ne fait que déterrer le passé et ressusciter d’anciennes erreurs. Dites « je » au lieu de « tu » : « Je pense que tu as tort » est plus acceptable que « tu as tort ». Exprimez votre ressenti, vos émotions, plutôt qu’un jugement de l’autre. Apprenez à faire la différence entre le jugement d’un acte et son auteur, et à la généralisation implicite et injuste : dire « ce papier est nul » est bien différent de « tu es nul ».
Exprimez-vous clairement ; les gens ne peuvent pas lire vos pensées. Apprenez à demander ce que vous voulez. Abattez les frontières entre vos sentiments et vos mots. Si vous mettez des limites et des restrictions, communiquez-le. Vérifiez que chacun sache à quoi s’en tenir. Apprenez à désamorcer les disputes. Si nécessaire, apprenez à dire au revoir ! On communique mieux par les actions que par les mots. Montrez aux gens que vous les aimez. Partagez la gentillesse, l’affection, les rires.

Soyez positif !

Posséder des outils ne suffit pas, encore faut-il les utiliser ! Il faut en vouloir !
Votre disposition d’esprit fera que ça fonctionne ou que ça échoue lamentablement. Évitez les situations ou il y a gagnants et perdants.
Dans votre groupe, prenez les décisions importantes au consensus, à défaut d’unanimité...
N’allez pas vous coucher en colère, exprimez ce qui vous chagrine. De même, éclairez d’une lumière positive les situations difficiles. Beaucoup de relations s’étiolent à cause de l’énergie négative. Essayez de ne pas transformer les petits accrochages en énormes problèmes.
Cherchez des solutions, pas des coupables ! Évitez d’être indirect. Pratiquez la tolérance, la patience, la flexibilité, la générosité, la compréhension, le pardon. Sachez vous excuser. Riez de vous-même. Maîtrisez votre ego : Osez tort. Vous ne pourrez pas apprendre des erreurs commises si vous voulez toujours avoir raison ! Et si vous tenez à avoir toujours raison, c’est facile : il suffit de vous taire quand vous avez tort !

Misez sur l’amitié !

Relax… soyez heureux. Écoutez plus que vous ne parlez. Donnez le dernier mot aux autres.
Prenez des raccourcis. Essayez de percevoir les choses du point de vue d’autrui… l’empathie est l’antidote de la colère. Restez calme et rappelez-vous de bien respirer. Détruisez les murs, faites confiance, ouvrez-vous, prenez des risques et permettez-vous d’être vulnérable. Sans vulnérabilité, pas d’intimité. Mettez l’accent sur l’amitié, plus que sur le romantisme. Prenez votre temps. Savourez ce que vous avez au lieu de vous appesantir sur ce que vous n’avez pas !
Pratiquez avec honnêteté l’amour inconditionnel.
Partagez, apprenez.

Ouvrez-vous à la thérapie !

La thérapie, c’est apporter du soin à un organisme blessé. C’est déjà accepter de reconnaître qu’on a été blessé. Nous avons tous été blessés par la vie, la famille, la société et les privations d’amour. Redécouvrir et réapprendre l’amour naturel est une thérapie.
La thérapie, c’est votre développement personnel, mais avec une aide extérieure, avec donc un « référent » thérapeutique, et des moments de thérapie fixés et définis dans le temps. Le courage de changer a besoin de témoin. Que la personne que vous aurez choisie comme « thérapeute » soit votre camarade ou un spécialiste extérieur, il sera ce « témoin » de votre chemin et vous l’utiliserez comme référence. Un « contrat » entre vous et lui précisera les limites, les outils et les moyens de l’action à entreprendre, les et les règles du jeu de la thérapie. Mais votre développement limite personnel, au nom de la libération émotionnelle, ne vous autorisera pas à transformer votre lieu de vie commune en champ clos de thérapie non-stop !

Soyez prêts pour l’aventure !

L’aventure commence à l’aurore de chaque matin. Soyez prêt. Ne planifiez pas tout. Ouvrez-vous à l’aventure, donnez place à l’imprévu. Ne faites pas de projet sur les autres, vous vous placeriez des œillères. Limitez vos projets sur le temps, il vous restreint. Ayez le nez plus souvent en l’air que sur votre planning. Laissez le temps au temps, respirez le moment qui passe. Que ce soit avec vos amants, vos ami(es), les couleurs du couchant ou l’odeur du pain qui cuit, laissez-vous emporter, laissez-vous prendre, lâchez prise. Rendez-vous disponible et réceptif, et montrez-le par votre attitude. Alors seulement, vous serez prêt à l’inattendu.
 
Publié sur « Psycho Actu » par Claude Cotard le 20 janvier 2013, d’après un texte de base du Dr Brian P. Frederick.


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