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Dernier baiser
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D'abord mon regard, intense, brûlant et qui se pose sur toi.
Puis ton bras qui me frôle, ton sourire qui me donne l'émoi.
Ta main légère se pose sur mon épaule, douce, telle la soie.
Tu es désirable, tu le sais, alors tu me transmets ta fièvre.
Tu t'approches si près que je devine la douceur de tes lèvres.
Et je sens la chaleur de tes courbes dessinées par un orfèvre.
Oser ne pas oser ? Tu saisis ma main et m'entraines à l'écart.
Dans le hall d'entrée, tu te colles à moi, me fixes du regard.
Ton ventre est frémissant et tes mains m'explorent au hasard.
Nos langues, nos salives qui se mélangent promettent l'enfer.
Tu relèves ta jupe, ma main se dirige vers ton ventre, offert.
Mais non ce n'est pas l'enfer, juste un paradis, où l'on se perd.
Tu ôtes un bouton et tu fais glisser la glissière de mon pantalon.
T’empares de ma hampe alors que je caresse ton propre bouton.
Les va et viens de nos mains riment nos soupirs, et c'est si bon.
Nous atteignons ce plaisir là et qu'il n'est nul besoin d'exprimer.
Il se voit, c'est chaud, humide, mais nous devons nous séparer.
Et je te quitte là, sur un dernier baiser, après nous être aimés.
Tu me regardes m'éloigner dans la rue, avant de fermer ta porte.
Il fait déjà nuit et ton manque me donne froid, un taxi m'emporte.
Mais je garde en mémoire ce souvenir d'une passion déjà morte...
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